Laisser son téléphone derrière soi pour aller à l’épicerie, couper les notifications pendant les repas ou encore choisir une activité en plein air plutôt qu’un écran… Ce sont de petits gestes concrets qui permettent de décrocher du flot constant des sollicitations. Ensemble, ne pourrions-nous pas aller encore plus loin? De plus en plus de pays inscrivent dans leur législation le droit à la déconnexion pour répondre à une problématique bien réelle : un manque de frontière entre vie professionnelle et vie personnelle. Ce droit vient établir des balises et fait tomber la pression invisible d’être toujours disponible. Nous vous invitons à vous appuyer sur ces législations pour rédiger des politiques claires, connues de toutes les personnes de l’organisation. Par exemple : planifier l’envoi des courriels à certaines heures ou permettre de couper les notifications pour se concentrer sur un travail important. Et pourquoi ne pas exiger, nous aussi, le droit à la déconnexion au Québec? |
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